Blog FES

Catégorie -Divers

Emission sur l’Hypnose : GRAND BIEN VOUS FASSE !

Une émission animée par Ali Rebeihi sur France Inter. Au programme, mieux comprendre le fonctionnement de l’hypnose et son utilisation en Thérapie, découvrir ses domaines de prédilection et à quel public s’adresse la thérapie ? Ali Rebeihi reçoit sur le plateau de l’émission l’hypnothérapeute Constance Flamand-Roze et le Dr Grégory Tosti.

Notre institut vous propose un large catalogue de formations en Hypnose Ericksonienne. De la formation de praticien en Hypnose Ericksonienne et de maitre praticien, à des formations spécialisées dans le domaine de l’Hypnose ( TCA, dépression, accompagnement des enfants, traitement des addictions…)

pour écouter l’émission sur le site de France Inter

Ouvrir les yeux sur les bienfaits de l’hypnose

tiré de l’article du site ledevoir.com

L’hypnose est largement employée en Europe par les anesthésistes, les urgentologues, les chirurgiens, psychiatres et autres médecins. Au Québec, son utilisation est encore très marginale. Les rares dentistes, pédiatres et médecins en soins palliatifs qui y ont recours dans leur pratique et qui vantent ses effets spectaculaires pour apaiser la douleur et l’anxiété dénoncent une méconnaissance de cette technique, dont les neuroscientifiques ont pourtant démontré les effets concrets sur le cerveau.

Ces professionnels espèrent que le 21e congrès mondial d’hypnose médicale et clinique, qui réunit cette semaine à Montréal des experts de diverses universités du monde (Stanford et Harvard aux États-Unis, de Liège en Belgique, de Montréal, McGill et Concordia) contribuera à démolir les mythes entourant l’hypnose et à sensibiliser, voire convaincre le monde médical québécois de ses avantages.

« La plupart des mythes et des fausses conceptions concernant l’hypnose sont en grande partie alimentés par l’hypnose de spectacle, dans laquelle l’hypnotiseur prétend posséder un pouvoir lui permettant de faire faire n’importe quoi au participant », explique Michel Landry, ancien président de la Société québécoise d’hypnose et président du congrès.

en savoir plus

Vraies Carences organiques, fausses maladies psychiatriques : comment les démasquer ?

Ces maladies psychiatriques qui n’en sont pas

Dépression sévère ? Schizophrénie ? Non : carence en vitamines. Tel est l’étonnant diagnostic que reçoivent certains patients, victimes de pathologies dites organopsychiatriques. Véritables caméléons, ces pathologies miment toutes sortes de maladies mentales et provoquent souvent une longue errance médicale.

Nicolas est un jeune homme d’une vingtaine d’années qui a tenté de se suicider en avalant des produits toxiques. Quand il arrive à l’hôpital, l’urgence est de le sauver et les chirurgiens doivent lui enlever une partie de l’estomac et de l’œsophage. Ensuite, le diagnostic tombe : dépression sévère. On lui prescrit des médicaments et une psychothérapie, qu’il suit pendant quelque temps, puis on le perd de vue. Les années passent et Nicolas est à nouveau amené aux urgences, cette fois par la police et dans un état d’agitation important. Vivant dans la rue depuis presque un an, il ne prend plus soin de lui, parle tout seul, répond aux questions de manière totalement inadaptée et souffre d’hallucinations auditives. Les soignants s’interrogent, enquêtent, et reconstituent peu à peu les parties manquantes de son histoire. Quelques mois après sa dépression, alors qu’il s’en était remis, il a vu son état se dégrader de nouveau progressivement. Il a fini par quitter sa compagne sur un coup de tête, puis s’est mis à errer dans la ville sans raison, en délirant sur un complot à son encontre. Un nouveau diagnostic est alors posé : schizophrénie. L’état de Nicolas est grave, il est hospitalisé en psychiatrie. Mais plusieurs mois de traitements ne donneront aucun résultat. Le patient enchaîne les médicaments antipsychotiques sans le moindre bénéfice. Les tests sanguins standards et l’imagerie cérébrale ne révèlent rien de significatif.

Nicolas est alors transféré dans notre unité, à l’hôpital Saint-Antoine, pour effectuer des examens complémentaires, voire tenter des thérapies innovantes. Enfin, le bon diagnostic tombe : non, ce n’est pas dans la tête, rien à voir avec une maladie mentale. Les symptômes s’expliquent par une carence très sévère en vitamine B12. Immédiatement, nous prescrivons à Nicolas des suppléments vitaminiques. En seulement quatre semaines, ses symptômes psychiatriques disparaissent. Il sort de l’hôpital peu après. Trois mois plus tard, il a retrouvé un logement, un travail et a renoué avec son entourage.

Le cas de Nicolas est typique des « maladies organiques à expression psychiatrique », ces pathologies qui ont une cause physiologique mais miment un trouble psychiatrique. Véritables caméléons, elles sont capables d’imiter toute la gamme des maladies mentales : dépression, trouble anxieux, schizophrénie… Au sein de l’hôpital Saint-Antoine, certains services sont régulièrement confrontés à ces cas où s’estompe la frontière entre ce qui tient du corps et de l’esprit. Certaines études estiment qu’environ 10 % des diagnostics psychiatriques sont erronés, passant à côté d’une cause organique sous-jacente.

en savoir plus

Se Détendre – Mieux Entreprendre – Qu’en est il du Mythe De L’Entrepreneur Débordé

Il est bien connu qu’entreprendre est exigeant, voir contraignant, et necessite au début des heures et des heures de travail. Beaucoup d’entrepreneurs , même passionnés, ont fait l’experience d’un trop grand stress et de l’apparition d’une fatigue qui finira par accompagner leur mouvement quotidien vers l’épuisement.

Un entrepreneur passionné se fait plus plaisir qu’il ne travaille !

La passion fait elle tout ? Il est gravé sur les tables de la loi de l’entrepreneur heureux, que la passion efface tout risque de dépression… Des beaux mots font aussi des beaux maux, et si plaisir il y a, il n’en reste pas moins que la pression d’un quotidien, même passionné, au rythme d’un marché trop accéléré, fera le lit de futurs difficultés. L’entrepreneur heureux peut finir soucieux et incapable d’un recul suffisant avec lui comme pour ceux qu’il conduit.

Déléguer, une science de l’équilibre

L’intelligence du collectif n’est plus à prouver. Un chef d’entreprise sachant déléguer, recevra toujours comme salaire, les bienfaits du talent de ceux qu’il aura investi. Tel est l’équilibre d’une pression bien répartie ! Pour autant conbien de patrons ont ils pu ainsi franchir ce pont ? C’est parfois la chute qui les enseigne.

en savoir plus : article de FORBES magazine

Hypnose médicale : les méthodes du 21 eme siècle

tiré de Libération

 » Alors qu’un congrès international se tient actuellement à Saint-Malo sur cette pratique, «Libération» a suivi une équipe du Samu de Marseille qui s’en sert pour calmer les patients.

Gérer la douleur par l’hypnose, c’est justement le thème du Congrès international d’hypnose médicale, qui s’est tenu à Saint-Malo, en Bretagne. Durant trois jours, un millier de participants – médecins, infirmiers, sages-femmes… – du monde entier ont partagé leurs expériences en la matière. En France, ils sont près de 15 000 soignants formés à cette pratique, qui reste pourtant confidentielle. La faute à une méfiance persistante du corps médical, dont la majorité demande encore à être convaincue des vertus de l’exercice.

Stress

Cette méfiance, Anne Champenois l’avait aussi. Médecin depuis 1989, l’urgentiste pragmatique a totalement changé d’avis après avoir passé, il y a deux ans, un diplôme universitaire d’hypnose médicale«Au Samu, on travaillait déjà sur la prise en charge de la douleur, raconte-t-elle. On avait déjà essayé plusieurs choses, notamment au niveau médicamenteux. Charlotte Debeaume, elle aussi médecin dans le service, avait envie d’essayer l’hypnose. J’y suis allée comme ça, pour voir.» Lors du premier cours, leur formatrice, Flavie Derynck, demande à chaque participant de se présenter. Juste à côté d’Anne Champenois, une jeune fille se lance… et tombe soudain dans un état inconscient. «Là, ça a commencé à m’impressionner, reconnaît Anne Champenois. J’ai dit à Flavie que je ne voulais pas qu’elle me fasse son truc avant d’avoir compris !»

La formation lui fournit les clés pour comprendre la technique, qui peut être associée à toutes les spécialités médicales. Pour l’urgentiste, qui doit gérer la douleur et le stress des patients en intervention, les potentialités sont prometteuses : «L’une des composantes de la douleur, ce sont les souvenirs que l’on en a, explique le docteur Champenois. En fait, quand il a mal, le patient est déjà en transe négative. Le principe de l’hypnose, c’est de court-circuiter ces souvenirs de douleur et de transformer la transe négative en transe positive.» Transporté par l’hypnose dans un lieu sécurisant, le patient ne focalise plus sur sa souffrance….. »

Libération – 14 juin 2018
en savoir plus

«LE MAL A DIT» =MALADIE! LE LIEN ENTRE NOS ÉMOTIONS ET MALADIES

Le point de vue yogique est de regarder le corps comme un instrument de développement spirituel. Comme chaque instrument notre corps a ses propres règles et son langage.

C’est seulement par l’ignorance que nous ne pouvons (ou ne voulons) pas entendre et comprendre ses messages. Il est devenu normal aujourd’hui de réagir sur une maladie ou une douleur avec une action répressive. Et si on essayait par un système de « décodage corporel »  trouver la cause d’une maladie qui se trouvent toujours dans le psychisme ?

Les étapes de formation d’une maladie

Dans son œuvre,  Ashtanga Hridaya Samhita (7ème siècle), Vabghata  évoque six stades du développement d’une maladie :
1. Psychique : le stade causal, quand le déséquilibre apparaît au niveau du subconscient. Ce déséquilibre est lié à une conception de l’ego en interaction avec le monde extérieur

2. Énergétique : le déséquilibre du système des canaux énergétiques (nadis).

3. Neuroendocrinien : le dysfonctionnement du système neuroendocrinien (le déséquilibre apparaît au niveau du corps physique ;

4. Endotoxique : le développement des toxines dans les différentes parties du corps ;

5. Visible symptomatique : l’apparition des symptômes cliniques de la maladie ;

6. Terminal : la destruction de l’organe malade.

Enfance précoce : Une étude démontre une vraie spécificité cérébrale

Tester le QI des enfants précoces et dit à « Haut Potentiel » a prouvé qu’ils présentaient un chiffre d’au moins 130. Qualifier un cerveau suffit il à en faire l’étude ? Selon une étude menée durant trois ans à Lyon et co-financée par la fondation APICIL, le fonctionnement lui même du cerveau de nos chers enfants précoces aurait un fonctionnement spécifique.

L’IRM de diffusion réalisée par Dominic Sappey-Marinier a ainsi permis  d’étudier le mouvement des molécules d’eau dans le cerveau.
Cette technique démontre clairement que les enfants à « haut potentiel » présentent une connectivité cérébrale bien plus importante que les enfants au QI standard dans plusieurs régions cérébrales comme le corps calleux qui relie les deux hémisphères et dans différents faisceaux intra-hémisphériques.

Un transfert d’information plus rapide au sein d’un même hémisphère mais aussi d’un hémisphère à l’autre, serait ainsi la preuve d’un haut fonctionnement du cerveau et signe d’une précocité active. L’étude montre aussi pour la première fois, qu’il existe des différences cérébrales entre les enfants Complexes et Laminaires. Cette meilleure connectivité est plus importante dans l’hémisphère gauche des Complexes et dans l’hémisphère droit des Laminaires.

en savoir plus

La méditation étudiée par les Neurosciences

Plusieurs nouvelles études tendent à prouver que les techniques méditatives, tirées de la pratique des moines bouddhistes, agiraient sur la structure et le fonctionnement du cerveau !

Poursuivant les travaux et les hypothèses du prix nobel de médecine, Elisabeth Blackburn, sur l’effet bénéfique de la méditation sur le vieillissement, une récente étude américaine donne de nouveaux arguments ! En effet l’étude réalisée sur 100 patients de 24 à 77 ans, a démontré, IRM à l’appui, que les pratiquants réguliers de la méditation montraient au niveau du cerveau une moindre altération de la matière grise. Selon les auteurs, l’intensité même de la méditation aurait effet dun stimulant sur les dendrites et les synapses du cerveau

En savoir plus sur les Echos

note : l’EMDR et son évolution StilBil®, développé au sein de notre institut et dispensé en formation à Avignon, ont aussi montré des effets similaires de récupération de densité de la matière grise au niveau de l’hippocampe et du cortex préfrontal. en savoir plus sur l’étude de Stéphanie Khalfa, chercheuse à l’Institut de neurosciences de la Timone

L’hypnose pour perdre du poids

Vous avez déjà essayé des régimes ainsi qu’une grande variété d’exercices sans succès ? Vous avez consulté sans résultat. des entraîneurs, des médecins, des diététiciens ? Peut-être vous manque-t-il le professionnel pratiquant une technique spéciale : l’hypnose.

L’hypnose suscite beaucoup de scepticisme, car Hollywood s’est occupé d’en montrer une facette loin de la réalité médicale professionnelle. Aujourd’hui l’hypnothérapie vise à montrer autrement comment évoluer : mieux dormir, perdre du poids, ou éliminer tramas et phobies du passé.

Des études ont démontré que les gens ayant eu recours à l’hypnose pour perdre du poids ont obtenu de meilleurs résultats que ceux ayant uniquement suivi un régime. Une étude de la ‘Revue Internationale d’Hypnose Expérimentale’ a même établi que les femmes suivant une thérapie hypnotique ont perdu du poids en plus d’améliorer leurs habitudes alimentaires, ce qui a contribué à changer drastiquement leur apparence physique. Entre-temps, une analyse approfondie réalisée par des chercheurs britanniques a démontré que l’hypnose peut aider à réguler la sécrétion des peptides qui contrôlent la faim.

La culture de la collaboration en progrès dans les entreprises

Le monde du travail vit aujourd’hui une constante évolution et dés lors, de nouvelles pratiques innovantes émergent au sein des entreprises. Toutes ces mutations sont vécues par les salariés en première ligne : interrogés sur les points de progression des deux dernières années, plus d’un tiers des salariés ont témoigné d’une réelle évolution de leurs méthodes de travail dans l’entreprise. Ils sont également 30% à observer une réduction des coûts. La qualité de vie au travail (15%) ou encore les pratiques de management (11%) ont eux aussi évolué.

Comment définir le collaboratif en entreprise ?

Certaines mutations sont toutefois difficiles à délimiter. Travail d’équipe, innovation, coopération, partage de compétences… Comment définir le collaboratif en entreprise ? Pour 51% des salariés, le collaboratif est avant tout un état d’esprit et des valeurs. Pour un salarié sur quatre, c’est aussi une façon innovante de traiter des sujets (26%) et un mode de coopération avec les parties prenantes externes (23%). Seuls 7% des répondants l’associent au travail avec des outils digitaux. À noter tout de même que 15% des salariés interrogés déclarent ne pas savoir de quoi il s’agit.

Qu’il s’agisse de modes de fonctionnement, d’interactions, ou de partage, la culture de la collaboration est en tout cas en progression. Ainsi, 58% des salariés interrogés affirment que le collaboratif est « plutôt » ou « tout à fait » en essor dans leur entreprise, un constat particulièrement fait chez les cadres (73%) et les moins de 35 ans (69%).

lire la suite